• Histoires .....

    Vous avez, une bonne blague, une histoire qui fait peur,...., c'est le moment mettez la!!!!

    Ici les histoires on les notes /10 mais on n'est pas trop dur!!!!

    Allez go!!!!


  • Commentaires

    1
    Dimanche 13 Octobre 2013 à 15:46

    Ce n'est pas moi qu'il l'ai inventé:

    Semaine 1 :
    Ca fait aujourd'hui une semaine que je suis né,quel bonheur d'être arrivé dans ce monde !



    Mois 01 :
    Ma maman s'occupe très bien de moi. C'est une maman exemplaire.


    Mois 02 :
    Aujourd'hui j'ai été séparé de maman. Elle était très inquiète et m'a dit adieu du regard. En espérant que ma nouvelle " famille humaine " s'occupera aussi bien de moi qu'elle l'a fait.

    Mois 04 :
    J'ai grandi vite, tout m'attire et m'intéresse. Il y a plusieurs enfants à la maison, ils sont pour moi comme des " petits frères ". Nous sommes très polissons, ils me tirent la queue, et je les mords pour jouer.


    Mois 05 :
    Aujourd'hui, ils m'ont disputé. Ma maîtresse m'a grondé parce que j'ai fait " pipi " à l'intérieur de la maison, mais ils ne m'ont jamais dit où je devais le faire. En plus je dors dans la réserve... et je ne me plaint pas !



    Mois 12 :
    Aujourd'hui j'ai eu un an. Je suis un chien adulte. Mes maîtres disent que j'ai grandi plus qu'ils ne le pensaient. Qu'est-ce qu'ils doivent être fiers de moi !



    Mois 13 :
    Aujourd'hui, je me suis senti très mal. Mon " petit frère " m'a pris ma balle. Moi je ne lui prends jamais ses jouets. Alors je lui ai reprise. Mais mes mâchoires sont devenues fortes et je l'ai blessé sans le vouloir. Après la peur, mes maîtres étaient furieux et ils m'ont enchaîné, je ne peux presque plus voir le soleil. Ils disent qu'ils vont me surveiller, que je suis "un ingrat". Je ne comprends rien à ce qui se passe.



    Mois 15 :
    Plus rien n'est pareil... je vis sur le balcon. Je me sens très seul, ma famille ne m'aime plus. Ils oublient parfois que j'ai faim et soif. Quand il pleut, je n'ai pas de toit pour m'abriter.




    Mois 16 :
    Aujourd'hui, ils m'ont fait descendre du balcon. J'étais sûr que ma famille m'avait pardonné et j'étais si content que je sautais de joie. Ma queue bougeait dans tous les sens. En plus, ils m'emmènent avec eux pour une promenade. Nous avons pris la direction de la route et d'un coup, ils se sont arrêtés. Ils ont ouvert la porte et je suis descendu tout content, croyant que nous allions passer la journée à la campagne. Je ne comprends pas pourquoi ils ont fermé la porte et sont partis. " Écoutez, attendez ! " Vous... vous m'oubliez. J'ai courru derrière la voiture de toute mes forces. Mon angoisse grandissait quand je me rendais compte que j'allais m'évanouir et qu'ils ne s'arrêtaient pas : ils m'avaient oublié.



    Mois 17 :
    J'ai essayé en vain de retrouver le chemin pour rentrer à la maison. Je me sens mal et je suis perdu. Sur mon chemin, il y a des gens de coeur qui me regardent avec tristesse et me donnent un peu à manger. Je les remercie du regard et du fond du coeur. J'aimerais qu'ils m'adoptent et je leur serais loyal comme personne. Mais ils disent juste "pauvre petit chien, il a dû se perdre".


    Mois 18 :
    L'autre jour, je suis passé devant une école et j'ai vu plein d'enfants et de jeunes comme mes " petits frères ". Je me suis approché et un groupe, en riant, m'a lancé une pluie de pierres pour " voir qui visait le mieux ". Une des pierres m'a abîmé l'oeil et depuis je ne vois plus de celui-ci.


    Mois 19 :
    Vous ne le croirez pas, mais les gens avaient plus pitié de moi quand j'étais plus joli. Maintenant je suis très maigre, mon aspect à changé. J'ai perdu mon œil et les gens me font partir à coup de balais quand j'essaie de me coucher dans un petit coin d'ombre.


    Mois 20 :
    Je ne peux presque pas bouger. Aujourd'hui, en essayant de traverser la rue où circulent les voitures, je me suis fait renverser. Je pensais être dans un endroit sûr appelé fossé, mais je n'oublierai jamais le regard de satisfaction du conducteur qui a même fait un écart pour essayer de m'écraser. Si au moins il m'avait tué ! Mais il m'a éclaté la hanche. La douleur est terrible, mes pattes arrière ne réagissent plus et je me suis difficilement tiré vers un peu d'herbe au bord de la route.




    Mois 21 :
    Cela fait 10 jours que je passe sous le soleil, la pluie, sans manger. Je ne peux pas bouger. La douleur est insupportable. Je me sens très mal, je suis dans un lieu humide et on dirait même que mon poil tombe. Des gens passent, ils ne me voient même pas, d'autres disent " ne t'approche pas ". Je suis presque inconscient, mais une force étrange m'a fait ouvrir les yeux... la douceur de sa voix m'a fait réagir. Elle disait "Pauvre petit chien, dans quel état ils t'ont laissé"... avec elle il y avait un monsieur en blouse blanche, il m'a touché et a dit " je regrette madame, mais ce chien ne peut plus être soigné, il vaut mieux arrêter ses souffrances ". La gentille dame s'est mise à pleurer et a approuvé.
    Comme je le pouvais, j'ai bougé la queue et je l'ai regardé, la remerciant de m'aider à trouver enfin le repos.
    Je n'ai senti que la piqûre de la seringue et je me suis endormi pour toujours en me demandant pourquoi j'étais né si personne ne me voulait.


    Voici une chose réelle qui va encore se produire cette année, ce texte est assez dur, et seul à ceux qui feront un copier/coller et le mettrons sur leur blog, et à ces gens là, je dit merci ! ( moi je l'ai fait )


    La solution n'est pas de jeter un chien à la rue, mais de l'éduquer. Ne transformez pas en problème une compagnie fidèle. Aidez à faire prendre conscience et à mettre fin au problème des chiens abandonnés.


    S'il-vous-plait faites un copier/coller de cet article sur votre blog, si vous ne le faites pas c'est que vous n'avez pas de cœur, je sais que ce texte est dur, mais faites un effort, car eux en font tous les jours au près de nous .

    2
    Lundi 14 Octobre 2013 à 11:55

    10/10 trop triste ... moi jvai foueter les gens qui font ça 

     

    3
    Lundi 14 Octobre 2013 à 11:58

    Oui c'est horrible et merci

    4
    Mercredi 4 Décembre 2013 à 15:56

    Et lol !!!!!!!

    a toi brume !!!!!!

    5
    Samedi 4 Janvier 2014 à 13:18

    C'est une histoire que j'ai écrite pendant les vacances lisez la si vous en avez le courage ; ):

    Il était une fois, il y a bien longtemps, une petite fille extrêmement mignonne qui vivait dans un manoir, ses dents était d'une blancheur sans égale et ses yeux bleu reflétaient le ciel... 

    Elle vivait heureuse avec sa famille: sa mère était la femme la plus belle de la région, et son père lui, gagnait bien assez d'argent pour permettre à sa famille de vivre. Son seul ennuie peut être, était la solitude, elle vivait, jouait, et dormait seule dans cette  grande demeure et ne pouvait se raccrocher à personne. Son père était toujours au travaille, quand à sa mère...eh bien...elle avait obtenu de son mari le droit d'aller travailler elle aussi. Non pas que sa famille en ait le besoin, son mari gagnait bien assez... c'était à cause de la poignante solitude qui l'étreignait chaque fois que son mari refermait la porte derrière lui.

    Au début la femme culpabilisait de laisser seule sa petite fille si bien qu'elle n'allait à la ville que lorsque qu'elle ne pouvait plus contenir sa solitude. Puis... avec la temps... ses absences ce firent plus longue. la femme fini par trouver un logement en ville, loin de son homme qui lui était toujours plus absent. Les portes du manoir se refermèrent et s'ouvrirent de moins en moins souvent. La petiote célébra son 8 ième anniversaire avec la vieille femme de chambre ( qui était aussi la seule domestique qui ait accepter de rester dans cette demeure que ses propriétaires délassait) et le vieux berger allemand de la cour, son seul véritable ami. Rien ne semblait devoir changer 

    Pourtant, quelques jours plus tard...les parents revinrent ensemble. Ce jour aurait dut être de fête, il ne fut que de larmes. Car des larmes la mère en avait versé, son visage était rouge et chiffonné à force d'avoir pleuré. Quand au père, tout ce qu'il trouva à dire après ses deux ans de séparation fut:

    "-Monte dans ta chambre Elena.

    -Mais...

    -Ne discute pas! Ta mère est malade, tu dois être une gentille petite fille, d'accord?

    -Oui..." 

    Et la tête baissée, Elena monta dans sa chambre sur la pointe des pieds pour faire le moins de bruit possible. Elle entra dans la grande pièce qui constituait l'unique décor de sa vie ,propre mais austère et dénudée, et elle s'assit sur le lit à baldaquin qui constituait presque l'unique mobilier de la salle. La petite fille était perdue: jusqu'à maintenant elle avait toujours été seule mais elle avait tenu le coup en se disant que quoi qu'elle ressente, une fois que ses parents seraient rentrés, tout redeviendrait comme avant . Mais maintenant qu'il étaient là rien n'avait changé. Et Elena se mit à pleurer, de grosses larmes transparentes gouttèrent sur ses draps de soie blanc ivoire, telle de petites perles fines dans leur écrin de velours.

    Elle resta là, immobile plusieurs heures durant, à chercher pourquoi ses parents ne semblaient pas l'aimer. Elle en vient à la conclusion suivantes:" Si ils ne veulent pas de moi c'est que je ne suis pas digne d'eux, Ils travaillent toute la journée et moi, je me plaint! Je doit faire en sorte qu'il ne se fassent plus de souci pour moi, je doit être une gentille petite fille, une gentille petite file, une gentille petite fille..." Heureuse d'avoir pris cette résolution, elle arreta de pleurer et se redressa sur son lit, des étoiles dans les yeux:" si je suis gentille mes parents n'auront plus à s'occuper de moi et alors, ils m'aimeront à nouveau !" Jetant un coup d'oeil sur sa chambre elle vit le nombre invraisemblable de poupée qui gisait à terre, plus ou moins mutilée selon leur âge. "la chambre d'une gentille petite fille doit toujours être rangée ." Se dit elle . Et elle se mit à rassembler ses jouets et à les fourrer dans une grande caisse en bois. cette activité était longue et répétitive la caisse en bois pesait lourd dans ses pauvres bras de fillette mais elle s'acharna à finir sa tache si bien que quand la vieille femme de chambre monta pour lui annoncer que le diner était servi, elle trouva la jeune fille endormi par terre.

    Les jours puis les années s'écoulèrent ainsi. Elena faisait tout son possible pour aider et quand il n'y avait plus rien à faire elle se tenait tranquille, assise sur une chaise, et ce parfois durant des heures ! Mais son père ne semblait pas vouloir le remarquer et ne voyait presque plus sa fille tant sa femme allait mal. Quand à elle, elle vivait très mal sa maladie, elle avait comprie depuis longtemps qu'elle n'en réchapperai plus et il ne s'écoulait plus une journée sans qu'elle ne crache du sang. La mère comme la fille maigrissait, l'une à cause de la maladie, l'autre à cause de l'inquiétude, elle était toute deux si pâles et squelletiques qu'on les auraient oublié si l'homme ne s'étaient pas tenue auprès de l'une.

    L'hiver arriva, et les poumons de la femme cessèrent progressivement de fonctionner, vint enfin le jour ou elle ne put quitter sa chambre. Alors dans un sursaut de consience, elle s'écria:

    "-Elena ! Mon dieu Elena ! Pardonne m..."Le reste de sa phrase se perdi dans une quinte de toux sanglante, elle mouru dans l'heure, vaincu par la tristesse et la tuberculose, sans avoir prononcé d'autre mot. C'est alors que la petite fille apparu dans la chambre, au vu de sa maigreur et de sa fragilité, on croyait voir en elle le portrait de sa mère avant sa mort.

    "-Alors ça y ait, dit elle d'une voix sans timbre, elle est morte ? Tout va redevenir comme avant ?

    -Rien ne sera plus jamais comme avant chuchota l'homme éploré.

    -Mais... j'ai 11 ans aujourd'hui ! Je me disait que l'on pourrait...

    -Elena, rugie l'homme, ta mère viens de mourir ! un peu de respect je te prie !"

    Elena toussa violemment et du sang goutta sur le tapis , elle était si maigre ! N'importe qui d'autre aurait comprie qu'elle avait attrapé le même mal que sa mère, mais les hommes sont parfois si aveugle...

    "-Ne reste pas là, soupira-t-il, et monte dans ta chambre. Il va falloir que tu sois une gentille petite fille tu sais."

    Une émotion que la petite fille ne connaissait pas pris alors le dessus: la colère.

    "-On s'en fiche de ma mère, tu est toujours avec elle, tu ne parles que d'elle ! Je suis ta fille, bon sang ! tu pourrais t'occuper un peu de moi !"

    La gifle parti toute seule, l'homme ne pensa pas à retenir sa main et Elena ne cria même pas . Elle massa sa joue endolorie et monta dans sa chambre sans rien ajouter.

    Quelques heures plus tard, l'homme, pris de remord monta rejoindre sa fille, il la trouva par terre au même endroit où elle s'était endormie bien des années plus tôt en rangeant sa chambre. Ses immenses yeux bleus, seuls vestiges de sa beauté passé étaient clos. Sa peau blanche et maladive étincelait dans les dernière lueurs du jour que laissaient passer la fenêtre. Ses cheveux blonds se teintaient de rouge par endroit, le même sang coulait au goutte à goutte de sa bouche. La maladie avait vaincu la fille comme elle avait vaincu la mère.

    Le père ne dit rien, il se pencha juste, et tout en refermant les yeux de poupée de sa fille, il murmura:

    "-Pardonne-moi."

    La mère et Elena furent enterrées ensemble, presque côte à côte, quand au père, il trouva encore la force de continuer à vivre dans son manoir pendant quelques années avant de décider qu'il ne pouvait plus rester là: il mit sa maison en vente. La petite chambre de Elena ne devait plus jamais s'ouvrire. 

    C'est alors que j'entra en scène...

    Pour une raison qui m'est propre, j'étais  venu seule, et j'étais à la recherche d'une nouvelle maison. Ce n'était pas l'argent qui manquait dans ma famille et j'étais très intéressée par ce manoir. Le malheureux propriétaire me mis alors en garde.

    Il y a quelques jours, il s'était mis en tête de refaire la décoration de son manoir afin qu'il soit plus présentable pour la vente; rude décision ! Car cela impliquait de rouvrir la chambre de sa fille qui dormait depuis bientôt 5 ans. Ce fut la peur au ventre qu'il pénétra dans la petite pièce. Pour y faire une étrange découverte: le corps de sa fille y reposait, réduit à l'état de squelette et encore habillée dans la robe qu'elle avait portée le jour de sa mort et de son enterrement !

    "-Qu' est ce que c'est que ça?", murmura l'homme en s'approchant de se qui ressemblait à une farce macabre allongée dans le lit.

    Un courant d'air chaud et nauséabond pris brusquement possession de la pièce, aussi brûlant que le souffle d'un malade. Une petite silhouette blanche flottait au centre de la pièce, c'était Elena telle qu'elle était le jour de sa mort, elle leva ses yeux bleus et pâles sur son père et entrouvrit ses lèvres taché de sang pour demander d'une voie qui malgré sa faiblesse, dut retentir dans toute la maison:

    "Papa ? Est ce que tu m'aime ? Dit ? Est ce que j'ai été une gentille petite fille ?"

    L'homme m'avoua alors qu'il s'était enfuie en courant sans même répondre et qu'il avait fait condamner la porte mais que dés le lendemain, et ce, malgré toute les précautions, qu'il avait pris, une douleur sourde lui envahie la poitrine: c'était la tuberculose. Il était fichu, il le savait mais il ne voulait pas mourir dans cette maison maudite.Mis à par ce petit "détail" le manoir était parfait, de plus, j'était à l' époque, presque amoureuse du spirisme et des fantômes, je fit donc l'acquisition de la demeure.  Il se révéla bien vite que la tuberculose avait fait de la petite chambre d'Elena son royaume et que quiconque y pénétrait tombait malade, la porte  fut ouverte pour la dernière fois...avant d'être refermée pour toujours.Le père d'Elena  et mort depuis plusieurs siècles maintenant, paix à son âme. Quand à moi, je suis morte dans des circonstances que je ne révélerais pas ici, et aujourd'hui encore, je continue à garder jalousement ma  petite demeure maudite, n'autorisant que d'autre revenant à y séjourner, afin que personne n'ouvre plus jamais la petite salle du fond.

    6
    Mardi 7 Janvier 2014 à 18:52

    Elle est super grosse !!!!!!!!!!!!!!^^

    7
    Mardi 7 Janvier 2014 à 19:11

    Désolée, mais j'y ai passé beaucoup de temps avant de la mettre sur mon site et sur le tien.

    8
    Mardi 7 Janvier 2014 à 19:32

    Ouais jle pense bien !!! ^^

    9
    Mardi 7 Janvier 2014 à 19:33

    j'adore les histoire bizarre ! XO

    10
    Mardi 7 Janvier 2014 à 19:39

    Elle est trop bien !!!! ^^ mais trop triste.............

    11
    Mardi 7 Janvier 2014 à 19:41
    12
    Mardi 7 Janvier 2014 à 19:46

    J'adore les histoires:

    - bizarre

    -effrayante

    -tristes

    -avec des psychopathes !!!!!!!!!!!!!!!!!

    Je ne suis pas tout nette ! ^^

               

    13
    Mardi 7 Janvier 2014 à 19:47

    Lol ^^ moi j'aime bien les histoires d'actions !!!!!! 

    14
    Mardi 7 Janvier 2014 à 20:06

    et la guerre des clans !!!!!!!!!!!!!! <3<3<3

    15
    Mardi 7 Janvier 2014 à 20:09

    ouais !!!

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